La Bio au Féminin

La Terre est Notre Métier met en place un parcours animé par des agricultrices et des spécialistes pour explorer les questions du genre en agriculture : genre et transition agro-écologique, les femmes dans la gouvernance, les freins à l’installation, l’intérêt des groupes et formations non-mixtes, les enjeux des outils et de la technique…

Ce parcours a été initié dans la lignée de l’étude de la FNAB sur la place des femmes dans l’agriculture biologique, menée en 2016. Cette thématique est une thématique qui infuse l’ensemble des travaux du réseau FNAB. Il était donc normal que le salon La Terre est Notre Métier y consacre un parcours.

Au-delà de ce seul parcours, le salon La Terre est Notre Métier souhaite à terme être un événement moteur sur cette thématique : parité dans les témoignages, conduite des tracteurs par des femmes lors des démonstrations, écriture inclusive, etc.

Télécharger l'étude de la FNAB

PROGRAMME LA BIO AU FÉMININ

2 parcours commentés – tous les jours à 15h

♦ Durée 1h30 ♦ Départ sur le pôle « La Bio au Féminin »

Mené par nos administratrices et animatrices référentes des GAB, en s’appuyant sur des témoignages concrets et des supports synthétiques, rejoignez notre parcours commenté.

Nous déambulerons dans le salon pour échanger sur les thématiques :

Genre et transition agro-écologique

La place des femmes dans la gouvernance

→ L’installation, les freins et les profils

La non-mixité comme marchepied de l’égalité

→ La précarité des femmes agricultrices

→ Genre, machines et outil

Repérez le drapeau violet pour le départ !

Et aussi sur-place :

→  De la documentation en libre-service et consultation

→ Des échanges, de l’information

→ Une permanence de la MSA de 14h à 15h

→ Le quizz de l’égalité

En plus : Départ régulier pour les rallyes-jeux interactifs « La question du genre en agriculture » à destination du public scolaire.

Durée approximative : 1h30

Nouveauté 2024

La mise en place du « label égalité » à destination des exposants

Repérez qui font partie des graines, des jeunes pousses ou des fleurs de l’égalité ?